La fleur qui pousse dans le pré
Ne cesse de m’émerveiller.
Elle se pavane au gré du vent,
Et se grise des éléments.
Elle se trémousse sans aucune frousse,
Sachant que de toute façon elle pousse.
La fleur frémit de sympathie,
quand elle voit une fleur amie.
La fleur s’écarte quand devant,
Le bruit d’un pas s’entend.
Pousse, pousse petite fleur,
Car tu consoles les enfants qui pleurent.
Il y en a tant,
Des petits, des grands...
Ils ont besoin de tes couleurs, de tes senteurs,
Pour soigner leurs blessures du cœur.
Ne t’arrêtes pas petite fleur,
de nous honorer de tes couleurs.
Dans le paysage de la vie,
"Qu'à jamais tu te lies..."
Poème de mon ami Nicolas Labadie :
http://loidattraction.ning.com/profile/NicolasLabadie