On se rend bien compte que le chemin de la peur n'est pas de tout repos, à vivre dans une matrice qui continuellement nous renvoie notre choix, celui de passer par la personnalité, passer par la forme humaine à comprendre notre relation d'unité avec nous-mêmes, nos semblables et en même temps toute cette diversité de la vie, toute cette floraison de cet univers et espace-temps. On prend de plus en plus conscience de notre incapacité à changer ce monde, à lui apporter des changements et on se demande comment faire pour justement faire ce premier pas qui en premier lieu permettrait de faire la différence.
On est bien conscient, que continuer à être dans les croyances de ce monde, dans ces conditionnements, dans tout ce qui est véhiculé, ne fait que nourrir cette matrice, toujours à être dans les émotions négatives ou positives, un va-et-vient à vivre quand on est dans cette dualité. On peut croire que nous ne sommes pas touchés par certains évènements, mais peu importe le comment et le pourquoi, nous sommes toujours dans ce grand bouleversement intérieur, le fait que nous soyons acteurs, observateurs tout en étant les créateurs de cette rivalité, cette dualité, dans laquelle tous et toutes sont confrontés à vivre dans la peur.
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