Extrait de la Lettre ouverte de Jean-Jacques Crèvecoeur suite à l'interdiction de la projection du film « SEUL CONTRE TOUS » |
"Je ne suis pas juste quand je laisse entendre dans « Seul contre tous » que 92 % des patients de Hamer étaient encore en vie, 5 ans après leur diagnostic de leur cancer (alors que le taux de réussite de la Médecine d’école est de 30 %). Non pas que ce ne soit pas vrai, historiquement. C’est vrai, et ça été prouvé devant un tribunal, lors d’un des procès de Hamer. Mais ce qui n’est pas juste, c’est de sous-entendre que toute personne qui pratiquerait la thérapeutique de Hamer aurait les mêmes taux de réussite. Car la réalité, sur le terrain, est très différente (voir plus bas) ;
je ne suis pas juste quand je lance l’information à travers un DVD, donnant l’espoir à des milliers de personnes atteintes du cancer, alors que je sais qu’il n’y a pratiquement pas de médecins formés à la Médecine Nouvelle pour les accompagner. Et si on n’est pas médecin, il est difficile d’accompagner les complications qui interviennent souvent en phase de réparation (voir plus bas) ;
je ne suis pas juste quand je dis dans « Seul contre tous » que Hamer a observé la régression spontanée de la plupart des cancers, sans chimiothérapie, sans radiothérapie, sans chirurgie. Si ce fait est à nouveau historiquement avéré, il n’en reste pas moins vrai que la plupart des gens qui choisissent de se tourner vers la Médecine Nouvelle, le font en dernier recours, parfois plusieurs années après leur diagnostic. Or, la biologie a ses limites et très souvent, les complications liées aux processus de réparation provoquent, chez les malades en voie de guérison, la mort. Et ça, je ne le dis pas dans le film (je le dis dans mes conférences, mais à présent, il m’est interdit de le dire) ;
je ne suis pas juste lorsque je passe sous silence, dans mon film, les côtés « ombre » du docteur Hamer et de la clique qui l’entoure : leur intolérance, leur paranoïa, leur intégrisme, leur orgueil.
je ne suis pas humble, quand j’endosse la cause de Hamer, en croyant que mes seuls efforts feront changer les mentalités de toute la communauté scientifique et médicale. Hamer s’est placé dans une position pour se retrouver seul contre tous (c’est le titre qu’il a donné à sa biographie publiée uniquement en Allemand). Et en cherchant à le défendre, je me suis mis, sans le vouloir, dans la même position ;
je ne suis pas humble, lorsque je crois pouvoir déterminer quelles sont les bonnes pratiques et les mauvaises pratiques thérapeutiques, tant chez les médecins classiques que chez les thérapeutes en Médecine Nouvelle, en décodage biologique ou en Biologie Totale ;
Je ne suis pas humble lorsque je défie le pouvoir…
Je veux revenir à ce que je porte en moi, depuis longtemps, et que j’ai laissé de côté depuis trop longtemps, trop occupé à défendre la cause d’un homme submergé par sa folie messianique. Ce que je porte en moi, c’est de vous donner les moyens de prendre votre vie en main, de manière autonome et responsable. Vous apprendre à ne plus dépendre de personne, ni d’aucune technique thérapeutique. Parce que vous aurez appris les règles d’hygiène de vie pour maintenir l’équilibre dans votre existence.
Je suis avant tout un formateur et un enseignant. Je ne suis pas ni médecin, ni thérapeute. Ma mission, c’est de transmettre des informations, de la manière la plus pédagogique possible. Pour que vous n’ayez plus besoin de personne pour conserver votre santé physique, votre équilibre émotionnel et votre paix intérieure."
Biographie du Dr. Hamer |
Dr Ryke Geerd Hamer est né en 1935 à Friese (Allemagne). Il a étudié la médecine et la théologie à l’université de Tübingen. À l’âge de 22 ans, il obtient sa maîtrise en théologie puis quatre ans plus tard, reçoit sa licence de pratique de la médecine.
Durant les années qui vont suivre, il pratique la médecine dans des cliniques universitaires allemandes.
En 1972, le docteur Hamer complète une spécialisation en médecine des maladies organiques et se joint à l’équipe de la clinique de l’Université de Tübingen en tant qu’interniste au service d’oncologie.
À cette époque il fonde également une clinique privée avec la docteure SigridHamer, son épouse qu’il a rencontrée à l’Université de Tübingen.
Le docteur Hamer démontre un talent exceptionnel pour l’invention d’appareils médicaux. Il détient notamment le brevet d’un scalpel non-traumatisant (Hamer-Scalpel) dont la lame est 20 fois plus tranchante que celle d’un rasoir, le brevet d’une scie à os pour la chirurgie plastique etle brevet d’une table de massage s'ajustant automatiquement aux contours du corps.
Grâce aux retombées financières de ses inventions, le docteur Hamer déménage en Italie avecsa famille et réalise son rêve d’offrir des soins médicaux gratuits aux habitants des bidonvilles deRome.
Le 18 août 1978 à Rome, les Hamer apprennent avec stupeur que leur fils Dirk a étéatteint accidentellement par une balle tirée à bout portant, par le prince italien Victor Emmanuel de Savoie.
Le 7 décembre 1978, Dirk succombe à ses blessures et meurt dans les bras de son père.
Peu de temps après le décès de son fils, on découvre que le docteur Hamer est atteint d’un cancer testiculaire. N’ayant jamais été sérieusement malade, ilpostule que son cancer pourrait être directement lié à la perte soudaine et inattendue de son fils. C’est d’ailleurs pour rendre hommage à son fils Dirk que le docteur Hamer nommera ce choc inattendu un « Dirk HamerSyndrome », ou DHS.
Le décès de son fils Dirk et son propre cancer conduisent le docteur Hamer au seuil d’un cheminement scientifique hors du commun.
À cette époque interniste en chef du service d’oncologie à l’Université de Munich, il enquête sur les antécédents médicaux de ses patients atteints d’un cancer, et apprend que, tout comme lui, ceux-ci ont subi toutes sortes de chocs inattendus.
Partant de l’hypothèse que tout événement physique est régi par le cerveau, il étudie les scanographies du cerveau de ses patients et compare celles-ci aux dossiers médicaux et psychologiques correspondants.
Quel ne fut pas son étonnement de constater une corrélation précise entre certains «chocs conflictuels», la façon dont ces chocs se manifestent au niveau organique, et la relation de tous ces processus avec le cerveau. Jusqu’à ce moment-là, aucune étude n’avait examiné l’origine cerébrale de la maladie, et le rôle du cerveau en tant que
médiateur entre le psychisme et l'organe malade.
Le docteur Hamer a découvert que toute maladie résulte d’un choc ou d’un traumatisme qui nous prend totalement au dépourvu. À l’instant du conflit inattendu, le choc atteint une zone précise du cerveau, causant ainsi une lésion (appelée plus tard « Foyer de Hamer »), visible sur une scanographie du cerveau sous la forme d’anneaux concentriques prononcés.
Les cellules du cerveau qui ont subi l’impact envoient un signal biochimique aux cellules du corps correspondantes, provoquant ainsi soit la croissance d’une tumeur, soit la désintégration tissulaire, ou encore la perte d’une fonction, selon le tissu du cerveau qui a été affecté par lechoc inattendu.
La raison pour laquelle un conflit spécifique est indiscutablement lié à une zone spécifique du cerveau est qu’au cours de l’évolution humaine, les diverses zones du cerveau ontété programmées pour répondre instantanément à des nécessités de survie.
Alors que le tronc cérébral (la partie la plus ancienne du cerveau) est programmé en fonction des enjeux fondamentaux liés à la survie, tels la respiration, la reproduction et la nourriture, le cerveau proprement dit (la partie la plus récente du cerveau) quant à lui, est sollicité par des enjeux sociaux et territoriaux.
Le docteur Hamer a également découvert que la maladie progresse selon deux phases successives: d'abord, une phase de conflit actif, caractérisée par un stress émotif,une froideur des extrémités, une perte d’appétit et de sommeil; cette première phase est suivie d’une phase de guérison, à condition que le conflit soit résolu. C’est la période durant laquelle le psychisme, le cerveau et l’organe correspondant se rétablissent, un processus souvent difficile marqué par la fatigue, la fièvre, l’inflammation, l’infection et la douleur.
Le docteur Hamer appelle ses découvertes « Les Cinq Lois Biologiques » car elles concordent avec les lois naturelles de l’embryologie et avec la logique de l’évolution.
Durant plusieurs années, le docteur Hamer confirme ses découvertes avec plus de 40,000 études de cas. Son travail scientifique aboutit à un schéma « Psychisme-cerveau-organe » qui donne un aperçu de la maladie, du contenu du conflit biologique qui en est la cause, l’emplacement de la lésion correspondante sur le « scan » du cerveau de la façon dont la maladie se manifeste dans la phase active du conflit, et des événements prévisibles de la phase de guérison.
La recherche du docteur Hamer a considérablement ébranlé les théories existantes de la médecine conventionnelle. Son explication voulant que la maladie soit une interaction significative entre le psychisme, le cerveau et l’organe correspondant, vient réfuter l’opinion voulant que la maladie soit un phénomène aléatoire, ou le résultat d’une erreur de la nature.
À partir de critères scientifiques solides, la Médecine Nouvelle Germanique rompt avec le mythe des cellules cancéreuses malignes ou des microbes destructeurs et reconnaît les « maladies infectieuses » de même que les tumeurs cancéreuses comme étant des mesures biologiques d’urgence, qui ont fait leur preuve depuis des millions d’années, qui sont conçues pour préserver l’organisme non pas pour le détruire comme on nous l’a enseigné. Les maladies comme le cancer perdent alors leur image terrifiante; on reconnaît qu'elle sont des programmes biologiques spéciaux bien-fondés de la nature dont chaque être humain est équipé à la naissance.
Au mois d’octobre 1981, le docteur Hamer a présenté sa recherche à l’Université de Tübingen dans le cadre d’une thèse de troisième cycle. Son objectif était de s’assurer que ses découvertes soient vérifiées sur des cas équivalents afin que la Médecine Nouvelle Germanique puisse éventuellement être enseignée à tous les étudiants en médecine, et que les patients bénéficient de ces découvertes aussitôt que possible.
À sa grande surprise, le comité universitaire rejeta sa recherche et refusa d’évaluer sa thèse, un cas sans précédent dans l’histoire universitaire.
Une autre surprise survint. Peu après avoir remis sa thèse, le docteur Hamer reçut l'ultimatum suivant : à défaut d’une récusation de ses découvertes, son contrat de travail ne serait pas renouvelé. Il lui était extrêmement difficile de comprendre qu’on puisse le renvoyer de la clinique pour avoir présenté des découvertes scientifiques solidement éprouvées.
Après son renvoi, il retourna à la pratique privée pour poursuivre sa recherche. Plusieurs tentatives dans le but de fonder une clinique privée échouèrent en raison des efforts concertés de ses opposants. Les lettres adressées par les patients du docteur Hamer aux inspecteurs de la santé sont restées sans réponse ou ont été retournées avec la mention « non pertinent! ».
En 1985, Sigrid Hamer mourut à son tour. Mariée au Dr Hamer depuis 29 ans et mère de quatre enfants, elle ne s’était jamais totalement remise du deuil de son fils et de l’intimidation acharnée de la part de la famille de Savoie.
Le harcèlement contre le docteur Hamer atteint son paroxysme en 1986, quand un tribunal lui interdit de pratiquer la médecine. Malgré le fait que son travail scientifique n’ait jamais été réfuté par qui que ce soit, il perdit son permis d'exercer la médecine à l'âge de 51 ans, pour avoir refusé de renier ses découvertes sur l’origine du cancer et de se conformeraux principes de la médecine officielle.
Privé d’un permis d'exercice, le docteur Hamer devaitdorénavant se fier à d’autres médecins en exercice pour obtenir des scans du cerveau et des dossiers médicaux. Malgré cela, il était déterminé à poursuivre son travail.
En 1987, il avait déjà analysé plus de 10,000 cas cliniques, ce qui lui permit d’étendre la portée de sa découverte des Cinq lois biologiques de la Médecine Nouvelle Germanique à la plupart des maladies connues du monde médical.
Pendant ce temps, les médias et l’establishment médical ne ménageaient pas leurs efforts pour attaquer son œuvre. Les journaux à sensation et les « experts en médecine" dépeignent le docteur Hamer comme un charlatan, un guérisseur miraculeux auto- proclamé, un leader de groupe-culte, ou un criminel dément, qui ne permettait pas aux cancéreux d’obtenir les traitements conventionnels « assurant leur survie ».
On demande une évaluation de sa santé mentale par un psychiatre légiste.
En 1997, le docteur Hamer est arrêté et condamné à une peine de 19 mois d’emprisonnement pour avoir fourni des renseignements d’ordre médical à trois patients sans avoir de permis d'exercer la médecine.
Par contre, en 1991, treize ans après avoir abattu Dirk Hamer, Victor Emmanuel de Savoie se voit imposer une peine de six mois de probation pour possession illicite d’arme à feu.
Lors de l’arrestation du docteur Hamer, les policiers ont perquisitionné les dossiers de ses patients. Par la suite, un procureur de l’État a dû admettre durant le procès qu'après cinq ans, 6,000 des 6,500 patients, dont la plupart étaint atteints d’un cancer en phase «terminale», vivaient encore.
Ce qui est paradoxal, c’est le fait que ce sont les opposants du docteur Hamer qui ont fourni des statistiques témoignant du taux de succès remarquable de la Médecine Nouvelle Germanique.
Toutefois, jusqu’à ce jour, l’Université de Tübingen refuse d’analyser les hypothèses scientifiques du docteur Hamer et ce, en dépit des ordonnances à cet effet émises par la cour en 1986 et en 1994.
De plus, la médecine officielle refuse d’approuver la Médecine Nouvelle Germanique, bien que de nombreuses vérifications de sa portée et de sa pertinence aient été effectuées par des médecins et par des associations professionnelles.
Le 9 septembre 2004, le docteur Hamer est arrêté à sa résidence d’Espagne … Après un an et demi à la prison de Fleury de Mérogis, le Dr Hamer fut enfin libéré en février 2006.
Source de l'article :
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